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Comment gérer les situations difficiles ?

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Pour favoriser la cohésion du groupe et fédérer votre équipe, il est essentiel de traiter les conflits internes en encourageant la communication ouverte, en identifiant clairement les problèmes et en cherchant des solutions collaboratives. 

D'abord, il faut comprendre que les conflits reposent sur des interprétations subjectives que les individus vont se faire suite à une action, un discours ou un comportement manifesté. Si ces conflits peuvent être source de stimulation et d'innovation, en réalité, ils peuvent aussi freiner la productivité et l'efficacité de l'entreprise.

Voici quelques groupes de conflits :

  

  • Les conflits d’intérêt : ils peuvent donner lieu à des confrontations, c’est-à-dire que les points de contradictions portent sur un désaccord au niveau des buts à atteindre, des priorités ou de la concurrence. 

  • Les conflits peuvent encore être au niveau des opinions et des valeurs, ainsi, la manière d’analyser, d’évaluer et de procéder s’oppose. 

  • Les conflits peuvent être de nature affective, autrement dit liés aux traits de personnalités 

  • Les conflits peuvent aussi être comportementaux dû à l’attitude d’un individu ou d’un groupe d'individus
     

 Pour répondre à ses situations diverses et complexes, le manager a à son arc plusieurs cordes.

Mais quels sont ses arcs ?

L’une de ses cordes s’appelle l’observation. L’art d’observer permet de déceler en douce les habitudes de chacun, les tempéraments et surtout les débuts de conflits. Par ce moyen, il vous est possible d’anticiper les conflits en prenant dès le départ de bonnes décisions, mais aussi d’imposer le calme avant la tempête !   

 

La deuxième corde s’appelle la communication. Il est important d'adapter sa façon de communiquer les décisions, la vision, les projets aux interlocuteurs. La réception de l’information étant propre à chacun, il faut pouvoir maîtriser son discours et surtout le fluidifier pour que l’information énoncée soit bien comprise par le récepteur du message.  Une clé non négligeable est de maîtriser dès le départ la façon dont vous délivrez vos messages. 

 

Le ton employé en temps de crise compte !

Si vous choisissez la voie de la colère, de l’indignation, que vous ayez tort ou raison, vous ne ferez qu’ajouter de l’huile sur le feu ! Opter pour un ton calme oblige l’individu ou le groupe d’individus à faire de même, ainsi, vous maîtrisez la situation en démontrant votre « self-control ». Soyez un agent de paix, par vos décisions, éradiquer le stress montant chez vos coéquipiers et montrez-vous compréhensif et empathique. L’effet positif de cette pratique est la bonification de votre image professionnelle, vous gagnez la confiance et le respect de vos coéquipiers pour avoir su manier le guidon de votre bateau ayant frôlé le naufrage ! 

Ensuite, exposez, au moment où vous avez la parole, un cadre dans lequel le groupe évoluera. Par cadre, on entend ici un règlement en amont ou un accord engageant la responsabilité de ses membres. 

 

Une autre corde à utiliser est celle de l’écoute active.

Laissez vos collaborateurs exprimer leurs idées, leurs doutes et questionnements. Cette pratique implique la compréhension de l’autre sans jugement et la création d’un lien de confiance. Suite à cela, vous pourrez mieux verbaliser le problème. En nommant la situation par des termes précis, vous effacez toutes les formes de confusions et mettez sur la table les points de changement à apporter pour une meilleure efficacité. 

Dans un contexte de tensions, vous rassurez ainsi les parties et pourrez ainsi prendre de meilleures décisions.  

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